vendredi 31 décembre 2010

Antiopa (deuxième partie)

On ne voit plus que cela aux Puces de Clignancourt : depuis qu'il n'y a plus de papillons, les collectionneurs rassemblent le peu qui reste dans de petites tours de verre, pour les revendre à des marchands. Comme les citadins recherchent le peu qui reste de nature sauvage, ils découvrent les papillons dans leur cage de verre et trouvent ça joli. Donc ils achètent (très cher.)

Alors je me suis demandé si avec mes stocks d'Antiopa, (je vous rassure il n'y en a pas tant que ça, mais ayant réussi dans ma vie deux élevages, j'ai eu les deux pontes), je ne pourrais pas moi aussi faire dans l'antiquaire-écolo-bobo.

Et voilà ce que ça donne :


là j'ai mis une aberration : elle a perdu ses taches. Au cas où je demanderais à Anne de me refaire un autre modèle, je lui montrerais celui-là, elle aurait moins de boulot !


Si maintenant vous n'êtes pas mûrs pour la troisième partie, alors c'est que les deux premières n'auront servi à rien !